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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans plus de 100 pays. Présente en Guinée depuis 2000.
À PROPOS
À PROPOS
OIM Global
OIM Global
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
CE QUE NOUS FAISONS
CE QUE NOUS FAISONS
PRIORITÉS TRANSVERSALES
PRIORITÉS TRANSVERSALES
- Données et ressources
- Agir
- 2030 Agenda
Les changements environnementaux et les catastrophes naturelles ont toujours été des moteurs importants de la migration. Toutefois, les prévisions relatives au changement climatique pour le 21e siècle indiquent qu'un nombre encore plus important de personnes se déplacent, car les phénomènes météorologiques extrêmes, tels que les inondations, les sécheresses et les tempêtes, deviennent plus fréquents et plus intenses (IPCC, 2014), et les modifications des régimes de précipitations et de températures ont un impact sur les moyens de subsistance et la sécurité humaine.
La vision de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) sur la migration, l'environnement et le changement climatique est que la gouvernance, les politiques et les pratiques en matière de migration doivent tenir en compte l'importance des facteurs liés à l'environnement, aux catastrophes et au changement climatique sur la mobilité humaine. Les facteurs environnementaux doivent être intégrés dans tous les domaines de la gestion des migrations, tels que la prévention, la préparation et la réponse aux déplacements, la gestion des frontières, la migration et l'intégration des travailleurs, ainsi que le retour et la réintégration, l'intégration, le retour et la réintégration.
En tant que principale agence intergouvernementale travaillant sur la migration, l'OIM reconnaît la nécessité d'intensifier les efforts nationaux, régionaux et internationaux pour relever les défis de la mobilité humaine liés aux facteurs aux facteurs environnementaux et au changement climatique.
En 2014, les États membres ont demandé à l'OIM d'intensifier son action en matière de migration, l'environnement et le changement climatique, ce qui a conduit à la création de la division Migration, environnement et le changement climatique (MECC) en 2015. Ce changement institutionnel a formalisé l'engagement de l'OIM dans ce domaine thématique, ce qui fait de l'OIM la première organisation internationale à avoir mis en place une unité institutionnelle entièrement consacrée à ce sujet.
Objectifs pour une meilleure gestion des migrations liées à l’environnement et au changement climatique
- Prévenir, dans la mesure du possible, les migrations forcées qui résultent des facteurs environnementaux dans la mesure du possible ;
- Fournir une assistance et une protection aux populations touchées lorsque des migrations forcées se produisent, et rechercher des solutions durables à leur situation ;
- Faciliter les migrations en tant que stratégie d'adaptation aux d'adaptation au changement climatique et renforcer la résilience des communautés touchées.
Le développement durable est reconnu comme faisant partie intégrante de cette approche, mise en œuvre par la réduction des risques de catastrophe, l'adaptation au changement climatique et des mesures de durabilité environnementale.
Axes d’interventions
- Plaidoyers pour une coopération internationale plus forte et des actions conjointes sur les liens entre la migration, l’environnement et le changement climatique ;
- Renforcement de capacité et de connaissances des décideurs politiques pour une législation plus précise et plus complète ;
- Réinstallation planifiée afin de protéger des personnes et des communautés qui n’ont pas la capacité de se protéger contre une catastrophe soudaine ;
- Renforcement de la résilience des communautés les plus touchées par le changement climatique et la dégradation de l’environnement à travers des projets communautaires durables en renforçant l’économie local et la protection de l’environnement ;
- Recherche et collecte de données pour mieux comprendre les enjeux sur la migration liée avec l’environnement et le changement climatique, surtout des données désagrégées sur la variété des impacts sur la vie des femmes et des hommes seront nécessaires pour adopter des interventions pertinentes en fonction des différents besoins et expériences.